Les quatre perspectives de la traduction

La traduction peut être étudiée de quatre perspectives différentes [Nida, E.A, ibidem., p. 37.] : philologique, linguistique, communicative et socio – sémiotique.

a) La perspective philologique

La perspective philologique de la traduction vise la comparaison du texte source avec le texte cible. Elle accorde une grande importance au langage figuratif, soit qu’on parle des mots isolés, soit qu’on parle des idiomes ou des figures de style très complexes.  Le problème que les figures de style posent est lié de l’évolution du lexique qui dépend du contexte cultural. Les idiomes se traduits parfois littéral d’une langue à autre, mais la plupart des temps on a des  idiomes équivalents.
L’orientation philologique de la traduction vise l’analyse des textes source ou cible pour identifier les changements d’intention qui peuvent inclure l’ironie ou l’hyperbole, l’ironie étant l’aspect le plus difficile d’exprimer et l’hyperbole étant présente dans les langues, mais dans des domaines différentiels de l’expérience humaine.

b)La perspective  linguistique

La perspective linguistique vise la comparaison de ceux deux langues, langue source et langue cible. Il y a une série des modalités différentes d’étudier la traduction du point de vue linguistique.

1. L’analyse interlinguistique des liaisons de cas vise surtout les expressions actives que celles passives. (Par exemple : l’agent de cause, l’agent immédiat, l’événement, le contenu, le bénéficier, etc.)
2. L’ordre des mots, les groups des mots et les énoncés représentent un élément très important en ce qui concerne l’étude des correspondances entre les codes. La mesure dans laquelle une langue permet l’ordre libre des mots que l’ordre fixe, pose une série des problèmes au traducteur. En tout cas, aucune langue n’impose aux mots une position absolue fixe.
3. Le problème de la referance pose des grands problèmes dans la traduction. Il y a des langues qui préfèrent les noms, mais aussi des langues qui préfèrent le pronom pour envoyer au même referant. Les aspects les plus complexes de referance sont liés des niveaux de referance honorifique.
4. L’hypothèse et la parataxe : dans le cas des langues indo-européennes, le rapport de subordination  est marqué par des mots spécifiques, mais on peut utiliser aussi des procédés comme la parataxe ou l’hypothèse.

c) La perspective communicative

La perspective communicative de la traduction  concentre son attention sur l’acte communicatif original de la langue source et sur la communication de la langue cible. La perspective communicative de la traduction vise deux sources différentes. D’une part  on a la source originale représentée par la personne ou par les personnes qui ont élaboré le texte source. Dans ce cas, le traducteur, qui devient une source proximale, ne doit pas adopter le point de vue de l’original, mais de réaliser une ouvre juste.

Le contexte de la traduction constitue un facteur de grand intérêt pour le traducteur, qui a besoin de comprendre le contexte initial de la communication. L’une des maximes de la communication est de ne pas dire ce qu’il est évident pour les autres. Ainsi, le traducteur se confronte avec le problème d’établir la proportion du contenu implicite du texte original pour le transformer en contenu explicite dans la traduction. Si un traducteur explicite plus, la traduction peut devenir anachronique ou explicite moins, en omettant des informations relevantes pour la compréhension du texte traduit.

d) La perspective socio – sémiotique

La perspective socio – sémiotique met accent sur la signification des signes qui transmettent le message aux récepteurs. En même temps, une telle perspective vise aussi les éléments encyclopédiques des sens. L’un des plus importants éléments dans l’analyse de la traduction est la modalité dans laquelle les signes sont lies aux referants grâce à leur structure sémiotique.

La perspective sémiotique implique trois niveaux d’interprétation. Le premier niveau vise la compréhension immédiate  et l’évaluation du texte, autrement dit la réception spontanée du texte. Le deuxième niveau, suppose l’étude analytique du texte, de sa structure et de son contexte. Le dernier niveaux se réalise quand est vu de la perspective de sa signification symbolique.

En tout cas, des toutes les catégories des signes qui donnent naissances à des divers codes, la langue est sûrement la plus complexe.

 

prof. Oana Alexandra Ilie

Liceul Tehnologic Constantin Brâncuși, Pitești (Argeş) , România
Profil iTeach: iteach.ro/profesor/oana.ilie

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